Confessionnal

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Un espace anonyme où tu peux te confier sur ta sexualité ou découvrir des centaines de confidences.

On s’est laissé il y a 6 mois. Je penses encore au feu dans tes yeux. Ta main dans mon cou. Et les bleus que t’as laissé sur mon cul. On sait tous les deux que c’est pas fini. À bientôt

J’ai jamais eu de one night.

Mon père a déjà entendu des bruits inquiétants dans la maison familiale en plein milieu de la nuit. Ça l’a inquiété au point de juger sécuritaire de garder en tout temps un bâton de baseball près de son lit. Encore aujourd’hui, je reste convaincue que les bruits qu’il entendait étaient ceux de mon chum de l’époque que je faisais rentrer et sortir en cachette en plein milieu de la nuit. #AdoRebelle

J’étais chez mon premier chum, on chillait, juste lui et moi. Chose rare, considérant qu’il vivait avec ses trois frères et soeurs en plus de ses parents. Pour en profiter, on s’est baigné dans la cour et, sachant qu’on était seuls, on a commencé à avoir du sexe dans la piscine. Le problème, c’est qu’on n’a pas entendu sonner à la porte. Puisqu’on n’avait pas répondu, son grand-père est passé par la cour nous voir. Pour un bon dix minutes, il nous jasait – nous regardant dans les yeux – pendant que j’avais un pénis à l’intérieur de moi… c’était tellement awkward!

Soirée d’Halloween: Il aura suffi d’un regard appuyé et d’un sourire en coin pour je sois prise d’une irrésistible envie de sauter par-dessus le bar improvisé et te rejoindre. Bordel que tu étais mignonne à voir et nos corps savaient déjà comment danser ensemble. Malheureusement, telle Cendrillon, j’ai t’ai perdue dans la foule au coup de minuit sans jamais te retrouver. Je serai restée sur une envie de french inassouvie et surtout, une panoplie de questionnements, toi qui m’aurait bien fait sauter la clôture de la bisexualité. Avez-vous déjà croisé une personne qui chamboule votre sexualité le temps d’un instant?

J’étais en voyage en Europe récemment et j’avais une solide envie de me masturber. Comme je suis circoncis, j’ai absolument besoin de lubrifier mon sexe avant de me branler. J’étais un peu pris au dépourvu et je n’avais pas envie d’utiliser ma salive du matin (ew). J’ai donc pris une bonne dose d’huile d’olive espagnole de notre Airbnb. Et c’était honnêtement très très bon.

Avec l’un de mes premiers amoureux, nous avons découvert le plaisir de se manger mutuellement l’anus (communément appelé «rimming»). Comme nous étions un peu incertains face à ce geste, et pour rendre le tout un peu plus attrayant, nous nous faisions couler un peu de crème glacée entre les fesses et on allait la licher de manière aguicheuse. Je me rappelle du froid de la matière sucrée, puis du chaud de sa langue. C’était à la fois étrange et hot. Si c’était à refaire, je ne prendrais pas de la crème glacée à la pistache though.

Quand j’avais environ 13 ans, je découvrais progressivement mon homosexualité. Tous les référents culturels qui me tombaient sous la patte pouvaient servir à nourrir mes fantasmes. Il y avait une scène en particulier dans la première saison de la série américaine Six Feet Under où on voyait un male prostitute sucer l’un des protagonistes. Je me suis tellement masturbé devant ce segment! Ah, et aussi en pensant à John, le sexy jardinier dans Desperate Housewives. Oups!

Récemment, mon copain et moi avons fait l’amour et il a éjaculé en moi. Un peu plus tard, dans le métro, j’ai éternué et un peu de sa semence est ressortie en même temps qu’un petit pet sonore. J’étais tellement, mais tellement gêné. Depuis, je m’assure de passer à la toilette après la sodomie pour ne rien garder en moi…

Alors que j’étais ado et que je découvrais mon corps, j’ai parfois utilisé l’embout de bois du débouche toilette de chez mes parents (grossièrement lubrifié avec du shampoing Herbal Essence…) pour stimuler ma prostate…  Disons que mes méthodes ont changées depuis!

Une fois, au Apple Store, un employé et moi on testait un Apple Tv avec mon téléphone et guess qui a mis sa collection de nudes et dick pic sur le grand écran? C’est moi!

Perso, je bruise like a peach, chaque fois que j’ai du sexe un ptit peu yolo mes boobies ont l’air de Ronda Rousey post MMA fight. Au moins, je suis cute en col roulé.

Il était une fois, un one night qui avait pitché son t-shirt à terre et mon chien (un jeune pug rebel) a fait pipi dessus. Il a pas dormi chez moi disons.

C’est la première fois que c’est à moi de faire les premiers pas avec un copain si je veux une relation sexuelle. En fait, je n’avais pas à les faire avant parce que mes ex avaient probablement plus d’envie sexuelle que moi j’en avais pour eux. Là c’est différent, j’ai envie de lui TOUT LE TEMPS! Il m’excite, j’aime comment il me touche et le sentir en moi. Je suis sûre qu’il aime ça, simplement, je crois qu’il est timide de faire les premiers pas. Qu’il se retienne même. J’aimerais que ça vienne de lui davantage pour être certaine que je ne lui impose pas et pour me sentir désirée à mon tour. Je le lui en ai parlé déjà, mais rien depuis. Je dois toujours faire les premiers pas.

J’ai brisé le pénis de mon premier copain quand on était ado: du sang, une belle-mère pas contente à la clinique, pis du Polysporin plus tard et hop on recommençait déjà… Eh la la, les hormones.

Une nuit, je suis allée dormir chez un de mes collègues Haïtien de l’époque. Déjà en rentrant (3h du matin), maman nous attendait dans le noir de la cuisine. Elle nous a fait comprendre qu’il ne fallait surtout pas dormir dans le même lit si personne ne voulait mourir ce soir. Nous avons quand même désobéit à maman, mais inutile de vous dire que monsieur n’était pas focus et relax durant l’acte, pour finalement s’endormir. En tout cas, moi je dormais! Maman est venue nous réveiller et le reste est flou, mais elle m’a foutu à la porte après plusieurs insultes! Ma préférée restera toujours: « TU ES VENU OUVRIR TES JAMBES SOUS MON TOIT BOUZIN SENTI! » Il est venu me porter chez moi sans dire un seul mot dans l’auto. Peut-être un petit « désolé ». En tout cas, je suis sûre qu’il l’était!

J’ai été victime d’une agression sexuelle et ça m’a pris plus d’un an avant de le comprendre. En tant qu’homme cis, même si on se trouve ben woke, il peut être difficile de déconstruire une masculinité qui interdit aux hommes de souffrir ou de se percevoir comme une victime. J’ai donc dû m’affranchir de la culpabilité et de la honte que d’autres survivant.e.s connaissent malgré elles/eux. J’y travaille encore.

J’ai commencé à me masturber avant d’être capable (biologiquement parlant) d’éjaculer. Faute d’une éducation sexuelle adéquate, je ne savais tout simplement pas ce qu’était l’éjaculation, non plus qu’elle accompagnait normalement l’orgasme. Bref, puisque je ne m’y attendais pas, la première fois que je suis venu, je me suis venu dans l’œil.

Apprendre à prendre soin de moi ça passe, entre autres, par la masturbation quotidienne! Couple pas couple. Never felt better!

Je me suis déjà discrètement masturbé dans le Bluenose (le bateau sur les pièces de 10 sous canadiens).

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