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J’ai revu mon ex il y a peu de temps. Ça faisait 8 ans que l’on ne s’était pas parlé, elle a été mon plus belle amour, celui qui fais pétiller tes yeux et donne des ailes et du souffle au cœur… Le premier gros amour qui ne s’oublie pas, les gens me comprendront. 8 ans plus tard elle voulait faire le point sur la vie, sa vie, je la respecte tellement, j’ai dormi à plusieurs reprise à côté d’elle sans jamais avoir de rapport. On s’est raconter le nombre de fois où elle avait eu un orgasme, avec humilité (chaque fois) elle m’a conté…
Coucher avec des femmes me manque beaucoup. Des fois j’ai envie de devenir sex worker. Quand je suis high et que je me fait livrer de la bouffe, j’ai toujours ce fantasme d’offrir une pipe au livreur comme tip. Peut-être un jour je le ferai…
J’entretiens un désir incontrôlable pour mon meilleur ami depuis des années. Un désir mutuel, malgré qu’il soit en couple avec elle. Récemment, on s’est envoyé des sextos, des photos, on s’est masturbés ensemble à distance. J’ai joui en l’imaginant nu dans son lit, fantasmant sur moi et les photos sexu que je lui avais envoyées. La semaine dernière, il est venu chez moi avec ses enfants. Pendant qu’ils regardaient la télé en bas, on est montés discrètement à l’étage. On s’est embrassés passionnément, on a retiré nos jeans, il a tassé ma culotte et m’a pénétrée. C’était la première fois qu’il me pénétrait sans condom….
J’ai dit à mon père que je faisais partie de la communauté LGBTQ+ dans une conversation normale (pas sous forme de coming-out) et il m’a coupé la parole en disant : « Hein? Attends un peu là là…je comprends pas. Pourquoi je savais pas? » Je sais qu’il n’y avait aucun jugement dans ce commentaire, mais ça m’a fait de la peine quand il a questionné mon orientation sexuelle. Eh oui, il ne croyait pas qu’être « en questionnement » était une identification valide. Je suis certaine à 99% d’être bisexuelle ou pansexuelle, mais pour lui, ne pas être certain ne semblait pas totalement acceptable.