Confession

Il est grand temps de déstigmatiser le BDSM. Je constate qu’encore trop de gens y voient quelque chose d’immoral ou de pathologique. Pourtant, c’est un univers merveilleux et inclusif dans lequel toutes les pratiques sont négociées, axées sur le consentement et la communication. Avoir envie de se faire dégrader, humilier, cracher dessus, fouetter, donner des ordres, promener en laisse, ou d’infliger ces traitements à d’autres, c’est 100% correct (entre adultes consentants, bien évidemment). Le BSDM n’est pas caractéristique d’une sexualité ou d’une identité détruite. J’invite les gens à ouvrir leur esprit, à arrêter le kink shaming, et à se renseigner auprès de personnes fiables au sein de la communauté BDSM s’ils désirent en savoir plus sur ce qu’elle est vraiment.