Confessionnal

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Un espace anonyme où tu peux te confier sur ta sexualité ou découvrir des centaines de confidences.

Hier soir, c’était notre première fois – La première fois qu’on a causé sexe et fantasmes sans trop de gêne – La première fois qu’on a eu du sexe sans pénétration de ma part – La première fois qu’un doigt ne m’appartenant pas s’est glissé au travers de mes sphincters. Comme beaucoup de premières fois ce n’était pas mirifique, mais je suis encore rempli d’émotion. Merci à toute la sphère de la sexualité positive, vous avez réveillé un jeune (22 ans) couple errant dans de vieux schémas.

J’ai découvert ma bisexualité à l’âge de 25 ans avec un homme beaucoup plus vieux que moi (48 ans). Il ma tellement fais jouir, j’ai même eu des orgasmes anaux quand il me sodomisait wow que c’était bon. On a été fuckfriends pendant un bon 5 ans et on s’est perdu de vue :(. [Prénom censuré] si tu lis ceci, tu me manques énormément, je me masturbe encore en pensant à nos 69 déchainés pis ta grosse queue entre mes fesses. Ton petit militaire qui s’ennuie 😉

J’aime me masturber quand une femme me regarde.

Lorsque je lui lèche la chatte poilue, elle jouit et éjacule sa fontaine toute liquide dans ma bouche et sur ma face… C’est tellement bon!

J’ai un pénis trop grand (trop long) et ma copine a une petite bouche… lorsqu’elle me fait un blowjob je ne sens rien… j’aurai tellement aimé avoir un petit pénis…

Pendant un blowjob j’éjacule dans sa bouche, elle garde le sperme dans sa bouche et vient m’embrasser sur les lèvres en me redonnant mon sperme à partager et à déguster ensemble… c’est plein de vitamines, succulent!

Mon point G: c’est qu’on embrasse, suce et lèche avec de la salive et de la bave mes tétons… aphrodisiaques !

Je viens d’avoir la meilleure baise de ma vie avec un bel homme de 44 ans avec une belle (et très grosse) queue. Quand on se donne à un homme d’expérience…

Je viens de faire mon coming out à ma mère et plutôt que m’écouter et comprendre que j’avais besoin d’en parler elle m’a dit de me taire et qu’elle ne voulait pas en parler, car elle ne voulait pas que les voisins nous entendent (!!!) . Elle m’a ensuite texté pour me dire que ça ne changeait rien pour elle, qu’elle était contente que je m’affirme, mais que c’est privé comme conversation et qu’elle est trop pudique pour parler de ça… Après ça on se demande pourquoi j’ai toujours refoulé mes sentiments… Je suis fière de moi. Tant pis pour elle si elle se fait souffrir avec le regard des autres, moi je suis maintenant libre, ouverte et je n’ai plus rien à foutre de l’opinion de randos. Je suis moi, enfin, pis ça fait du bien en criss!

Tsé quand t’es obligée de prendre la pilule du lendemain parce que t’as baisé avec le chum de ta coloc pis qu’il a joui dans ta chatte… oupsi… C’est ça qui arrive quand ça fait un mois que t’as pas baisé pis que t’es trop horny…

Après avoir couché avec mon ex la première fois, elle m’a dit qu’elle aimerait tant être capable elle aussi de ne pas s’épiler down there.

Moi qui entends ma coloc se faire baiser = moi qui se masturbe à chaque fois

Les femmes qui ont des poils sous les bras (aisselles) c’est tellement séduisant, érotique et excitant. Pas de déodorant, ni de parfum, juste l’odeur naturelle du corps et de transpiration. Regarder, sentir, embrasser, lécher les poils… C’est orgasmique!

Après une longue journée chaude, humide et suante: elle enlève ses souliers et me demande de renifler, sentir et embrasser ses grands pieds, lécher ses orteils, pendant qu’elle sirote son verre de vin. C’est un régal!

En ce qui concerne les poils pubiens, je suis pour!!! Mais ça n’a pas toujours été le cas. Lorsque j’ai commencé à être intime avec mon partenaire l’été dernier, ne sachant pas ses préférences, j’ai décidé de me raser, laissant peu de poils. Un jour, il m’a demandé pourquoi je me rasais, car il préférait une belle toison fournie. Depuis ce temps, je ne me rase plus, j’en enlève de temps en temps bien sûr, mais sans plus. Franchement, c’est une découverte pour moi! Je me trouve plus belle ainsi, c’est comme avoir un petit ventre doux, des fesses rebondies, de la cellulite ou des vergetures. Ça fait partie du corps, de la vie. C’est peut-être l’âge aussi. Je n’aurais sans doute pas pensé cela à 25 ans. C’est tellement plus simple aussi de ne pas se raser! Quant aux sensations, c’est beaucoup plus doux, pour mon chum comme pour moi.

J’adore l’odeur des draps après avoir fait l’amour: c’est un mélange d’odeur de transpiration, sueur, salive et sperme… délicieux!

Première journée à ma nouvelle job et j’ai déjà envie de me faire baiser par 2 beaux collègues… C’est sûr que je m’organise pour que ça arrive bientôt!!! En attendant, je vais me masturber en pensant à eux et à toutes les choses que je les laisserais me faire…!!!

Je suis naturellement plutôt poilue, avec une longue crinière presque noire, et donc, beaucoup de poils pubiens. Depuis mon adolescence, je me suis fait dire par au combien de femmes que les hommes n’aiment pas le poil. Or, malgré les énormes complexes liés à ma pilosité qui m’ont poussée à m’épiler religieusement, plusieurs de mes partenaires masculins ont mentionné préférer la version jeune buisson de ma vulve. Personnellement, j’aime bien les poils pubiens, autant chez les hommes que chez les femmes, mais je ne peux les sentir sur mon corps.

À 5 ans, BBQ en famille, je joue sous la table et observe les jambes et les pieds des convives. Je vais voir ceux de ma mère et touche ses orteils. Ses gros orteils sont piquants ? Une repousse, comprendrais-je quelques années plus tard. Ah! La norme? À 11 ans, j’ai les bras beaucoup plus poilus que les enfants de mon âge et je me le fais dire très souvent. Une amie également velue arrive à l’école un matin les bras complètement rasés. Deux jours plus tard, en travaillant à ses côtés, je frôle son bras et ça pique! Je dois faire ça, moi aussi? À 16 ans, je vis de la culpabilité parce que je n’ai pas envie de me raser le pubis comme mes amies le font… À 24 ans, je choisis d’être poilue de partout et choisi des ami.e.s et partenaires sexus pour qui les poils sont aussi un choix perso.

Ma relation avec mes poils pubiens a beaucoup évolué depuis que je commence à les pousser. Quand j’ai vu les premiers poils apparaître, je ne savais pas exactement ce que c’était et ça m’a dégoûté, alors je les ai rasés tout de suite. J’ai continué cette pratique pour des années, qui a été justifiée par l’apparence des vulves dans les films pornographiques vers les années 2010. Plus tard, avec mes nouveaux apprentissages féministes, je me suis dit que j’arrêterais de les raser. Mais, j’ai découvert que quand ils étaient longs, mes pertes agissaient comme de la colle sur mes poils, qui s’arrachaient de ma peau des fois (ouch!!!). Maintenant, je les rase à peu près 1 fois aux deux mois, ce qui les garde assez courts pour ne pas se coller ensemble, mais assez long pour me donner l’apparence d’un.e adulte…

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