J’ai découvert que j’avais un vaginisme à 19 ans. Je n’ai pas pris cette information très à cœur pendant l’année qui a suivi. Par la suite, j’ai trouvé que ma libido diminuait de plus en plus. J’ai fini par aller voir une kinésithérapeute du périnée à 23 ans, qui a également fait office de sexologue. Actuellement, je ne dirais pas que j’ai une libido supérieure, mais j’ai appris a prendre mon temps, à en parler et communiquer, et surtout à ne plus accepter de ne le faire que pour le plaisir de l’autre, mais aussi à rechercher mon plaisir.