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Suis-je la seule qui se fait fucker le pH à chaque rapport sexuel? Deux relations en deux mois et le résultat : une vaginite à levure et une vaginose bactérienne. Youpi. Si au moins j’étais venue…
Je suis vraiment plus cochon que je le laisse paraître. J’ai découvert que j’aimais beaucoup me faire venir au visage et être dominé. Avec le confinement, nous avons expérimenté plusieurs choses au lit avec mon conjoint et nous nous faisons de plus en plus plaisir, ensemble ou en solo.
Je suis longtemps restée avec mon tout premier conjoint, je croyais dur comme fer que je resterais avec lui toute ma vie et j’étouffais à l’idée de n’avoir jamais fait l’amour avec personne d’autre. J’avais l’impression de passer à côté de plein d’expériences, mais je refusais catégoriquement de le tromper et il se fâchait quand je lui partageais mon désir d’essayer de nouvelles choses ou d’essayer le couple ouvert. Nous avons fini par nous séparer et je vis, depuis, une véritable libération sur le plan sexuel. J’ai eu quelques aventures, ai surmonté mes préjugés concernant les sites de rencontre et je suis de nouveau dans…
Peut-on parler d’à quel point c’est étrange de dater pendant une pandémie?! Lors des premières rencontres, la distanciation sociale rend impossible tout rapprochement – autant les minuscules contacts physiques de complicité que les gestes des plus sexus. Et quand ça devient plus sérieux, l’impossibilité de faire des activités fait en sorte que nos dates deviennent semblables à la routine: on est toujours chez l’un.e ou l’autre à se faire à manger, boire du vin, écouter des films, faire l’amour… Ça donne l’impression de devenir rapidement super proche de l’autre, mais en même temps de ne pas le.la connaître du tout. C’est difficile à naviguer!