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Ma relation avec mes poils pubiens a beaucoup évolué depuis que je commence à les pousser. Quand j’ai vu les premiers poils apparaître, je ne savais pas exactement ce que c’était et ça m’a dégoûté, alors je les ai rasés tout de suite. J’ai continué cette pratique pour des années, qui a été justifiée par l’apparence des vulves dans les films pornographiques vers les années 2010. Plus tard, avec mes nouveaux apprentissages féministes, je me suis dit que j’arrêterais de les raser. Mais, j’ai découvert que quand ils étaient longs, mes pertes agissaient comme de la colle sur mes poils, qui s’arrachaient de ma peau…
Toute mon enfance, on m’a traitée de petit gars manqué parce que je me tenais seulement avec des garçons, que j’aimais jouer aux Lego et que je n’aimais pas le « linge de fille ». Ça m’a toujours chiquotée. Sans me sentir trans, j’me suis jamais sentie comme… une vraie fille. Jusqu’à ce que je fasse mon coming out. Me confirmer mon homosexualité m’a donné des ailes. Je suis une jeune femme. Je me sens femme. C’est pas parce que je n’entre pas dans les critères socio-normatifs que ça fait moins de moi une femme. Je vis pleinement ma féminité et j’aimerais qu’on dise à…
Depuis Pâques j’ai un sugar daddy, il est pas vieux vieux, mais 40aine la. Jusqu’à maintenant le sexe est le meilleur de ma vie, il sait vraiment ce qu’il fait. Et les cadeaux après nos soirées vont finir par payer mes études .
No joke. Je me masturbe à chaque jour. Avec mon Womanizer, mes doigts, name it! Est-ce que je me sens mal? Des fois. Mais la plupart du temps, je me fais un osti de bon orgasme et j’adore ça. Mais la putain de phrase « Ton chum doit être poche au lit si tu te masturbes autant? » HAHAHA, non. Il est parfait au lit. Mais des fois, des moments solos ça fait du bien.