Ces temps-ci, je n’arrête pas de penser à lui. D’imaginer nos corps s’emboîter, nos langues s’entortiller, nos dents se mordre la peau. Je le connais à peine. J’espère avoir le courage de lui dire que je veux qu’on baise une nuit entière. En attendant, je me masturbe solide en pensant à lui.