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J’échange des courriels avec un homme depuis quelques semaines. Il est dominant et ça m’excite au plus haut point. Je passe mon temps à me masturber en pensant à lui. Les courriels ne sont pourtant pas tant axés sur le sexe, mais son intelligence me stimule. On s’est parlé par vidéo et la conversation coulait. J’ai hâte de le rencontrer pour voir si les corps coulent aussi. Cette tension de l’attente alimente mes fantasmes et j’ai l’impression de ressentir le désir par tous les pores de ma peau.
Je viens de sucer mon coloc pour sa fête. Il est venu dans ma bouche et j’ai avalé tout son délicieux sperme comme la bonne fille soumise et obéissante que je suis. C’était parfait! J’ai hâte de recommencer!!!
Je fourrais ici et là avec un gars, M. Puisque je sentais que je commençais à catch feelings, j’ai rapidement mis terme à la relation… Le cœur gros, je me suis organisée pour me planifier une « date » vraiment casual avec un Frenchie de Tinder la semaine suivante, un BBQ. Ne souhaitant pas y aller seule, j’ai tenté d’inviter mes ami.e.s. Sans succès. Voulant tout de même aller sur ladite date, j’ai eu la brillante idée d’inviter mon ancien fuck friend… Chaude soirée en perspective. Et c’est ainsi qu’est né le hashtag #HochelagDansGueule.
Dans mon couple, c’est presque toujours moi qui propose l’utilisation de jouets sexuels, d’occasionnellement regarder un film pornographique, etc. J’aimerais bien que ce soit elle de temps en temps. Je me plains pour rien?