Your cart is currently empty!
Je préfère le fantasme au sexe.
À 16 ans, j’ai entendu deux de mes amis parler de filles, de vagin, d’odeur de pipi, de « ouache les nounes qui puent ». Ça m’a tellement marqué que j’ai passé les 20 prochaine années à me laver avant chaque rencontre sexuelle, à être préoccupée par mon odeur, et la perception de l’autre.
Avec le confinement, j’ai dû mettre ma libido « partagée » sur pause, mais mes rêves à deux, eux, sont plus torrides que jamais. Le subconscient n’oublie pas, lui. Je me réveille et j’y fantasme toute la journée!
J’ai peiné plus d’un partenaire en ayant une conception très libertine de l’intimité sexuelle. Je donne plus d’importance à l’intimité des cœurs dans le quotidien et le long terme.