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J’ai perdu ma virginité à 23 ans. Toute mon adolescence et le début de ma vingtaine, j’ai eu honte d’être vierge. Je pensais me faire un chum au cégep et que la suite des choses allait fonctionner, mais malheureusement ça n’allait jamais bien bien plus loin. Des fois, j’me disais que je devrais faire un one night après une sortie au bar et que comme ça, ça serait enfin fait, que je ne serais plus vierge, que je serais comme tout le monde. J’étais bien trop timide ou je me respectais trop? Finalement, j’ai perdu ma virginité avec mon premier vrai chum à 23 ans…
I am furrie.
Pour moi, la sexualité lesbienne semblait être ultra intime et douce en tout temps, et bien que j’aime ce genre de moment tendre, j’aime aussi quand c’est intense et rough.
Ce qu’on aime faire plus que tout : voir d’abord. Je sais que, quand je mets un film avec un ou des hommes bien musclés qui se masturbent, en montrant bien leur grosse queue, son clito va durcir. Je le sais pour l’avoir fait ensemble des centaines de fois, côte à côte devant l’écran. Quand elle avait dans la trentaine, elle m’a avoué son fantasme d’imaginer un homme prendre bien en main son pénis et l’astiquer jusqu’à l’éjaculation. Depuis que je sais son immense plaisir, je m’arrange pour choisir un film de 15 minutes, les jours avant, et quand c’est notre point rose au calendrier,…