Les aléas de ma vie professionnelle font que je possède plusieurs sex toys d’excellente qualité. Sans blague, le contenu du premier tiroir de ma table de chevet vaut plusieurs centaines de dollars. Le comble, c’est que j’ai toujours été pas mal plus « manuelle ». Ça fait que j’ai pas du tout tendance à utiliser mes jouets pour « m’amuser ».

 

En tant que célibataire, la (maudite mais nécessaire) distanciation sociale joue pas mal sur ma libido et mon désir puisque je ne peux pas avoir de plaisir à deux (ou à plusieurs, parce que YOLO!).

 

Cette semaine, horny AF, j’ai eu envie d’aller explorer du côté du premier tiroir de ma table de chevet. J’écoute les consignes et je sais que ça, c’est le genre de visite qui est permise. J’ai sorti mes jouets, j’ai pris le temps de les nettoyer, je les ai observé et j’ai sélectionné celui qui me faisait le plus envie.

 

Je me suis offerte une belle et longue séance de « self love making », d’exploration de nouvelles sensations, de plaisir auto-érotique, parce que le confinement, c’est aussi fait pour jouer.