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Amoureuse de toute, mais surtout des mots, Catherine écrit depuis belle lurette – précisément 11 ans – pour différents médias en plus de cumuler plusieurs années d’expérience en agence publicitaire. Elle s’est jointe au Club Sexu pour rédiger des articles journalistiques et divers contenus rédactionnels dans l’optique de créer un discours positif entourant la sexualité, tout en offrant de la visibilité à des réalités et à des personnes qui en ont besoin.
Chloé, Bruce et Diane, trois personnes âgées de 60 ans et plus, nous ont confié des parcelles de leur vie sexuelle.
Aux antipodes du blind date, Internet, et plus précisément les applications de rencontre, nous permettent aujourd’hui de savoir tout d’une personne avant même de l’avoir…
À quoi s’attendre lors d’un test de dépistage des ITSS? Quelles questions l’infirmière va-t-elle poser? On répond à toutes tes questions.
On a testé l’autoprélèvement des infections transmissibles sexuelles et par le sang (ITSS) chez Prélib et on t’explique comment tout ça s’est déroulé.
En novembre 2020, l’autotest du virus de l’immunodéficience humaine (VIH) voit le jour au Canada. Mais comment ça fonctionne?
Si on parle de plus en plus d’asexualité, le spectre complet qui se cache derrière ce terme, lui, est encore loin des conversations populaires. Résultat : en plus de faire leur coming out, les personnes asexuelles doivent souvent expliquer toutes les nuances de l’asexualité à leur entourage. J’en ai discuté avec Isabelle, Viviane, Hélène, Vincent et Julien.
La pensée populaire veut qu’une personne asexuelle ne puisse être en couple qu’avec une autre personne asexuelle, voire une personne qui partage exactement la même orientation sexuelle sur le spectre de l’asexualité. En vérité, l’asexualité et l’aromantisme sont deux choses complètement différentes. Peut-on être en couple quand on est asexuel.le? C’est la question que j’ai posée à Vanessa, Hélène, Vincent et Arnaud*.
J’ai discuté de sexe et de handicap avec Stephen, un homme de 58 ans qui a appris à faire l’amour avec sa tête avant de le faire avec son corps.
Peut-on faire de la pornographie de manière éthique? C’est la question que j’ai posée à Sam, Nadia, Isabelle et Dominic, travailleurs et travailleuses de cette industrie.
Si Naïla, Simon et Blanche sont trois personnes complètement différentes, ce qui les rassemble aujourd’hui, c’est qu’elles ont toutes les trois un compte OnlyFans où elles ont publié (ou publient encore) du contenu pour adultes.
Blake, Mathieu et moi portons la robe à l’occasion. Pourtant, je suis la seule des trois qui n’a jamais choqué personne ou qui ne s’est jamais fait poser de questions parce qu’on retrouve ma robe entre une paire de jeans et mon pull prèf dans ma garde-robe. Blake et Mathieu s’identifient comme personnes non binaires. Pandémie oblige, Google Meet m’a permis de les rencontrer entre deux croquées de sandwich pour jaser de coming out, de sexualité et de leur façon de vivre la non-binarité au quotidien.
Début juillet 2020, une vague déferlante de dénonciations d’inconduites, de harcèlements et d’agressions sexuelles s’est abattue sur le Québec. Quelque part tiraillée entre la tristesse de voir qu’autant de gens de mon entourage aient pu souffrir et la colère que d’autres aient pu commettre d’atroces choses, je me suis moi-même mise à remettre en question mes comportements lors de mes parties de jambes en l’air.