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Histoire de la fois où mon copain et moi avons essayé le pegging pour la première fois.
Récit d’un soir où j’ai décidé d’envoyer des nudes à un match sur Grindr… Et que j’ai fini à la télé.
Sébastien nous partage son expérience du Défi 1 mois sans porno à travers son carnet de plaisirs.
Laurent nous partage son expérience du Défi 1 mois sans porno à travers son carnet de plaisirs.
Je le connaissais pour l’avoir croisé à quelques occasions, mais pas au point de lui écrire un jour pour l’inviter candidement à jaser de syphilis dans un parc. Sauf que j’avais envie de me sentir un peu moins seul avec cette histoire, et il a accepté de me partager la sienne pour le Club Sexu. Alors, on s’est donné rendez-vous quelque part et j’ai vite compris que le gazon est pas toujours plus doux chez le voisin.
La non-monogamie peut prendre plusieurs formes, mais pour moi, il s’agit d’avoir la liberté d’aimer plus d’une personne à la fois, et ce, ouvertement et non dans le secret, la honte et la culpabilité. De manière générale, cette forme de non-monogamie est appelée « polyamour »
J’ai toujours su que j’avais une attirance envers la gent féminine. Quand j’étais jeune, une amie et moi nous « pratiquions » à embrasser ensemble. Déjà, durant nos pratiques de bouche-à-bouche-à-langues, quelques papillons dans mon bas-ventre se faisaient aller en feux d’artifices, pareils comme dans la scène finale de Vie de bestioles.
Je lui ai demandé pourquoi il venait de faire ça. Et lui de me répondre le plus candidement du monde : « Ah, j’ai enlevé le condom. »
Mon amant préféré et moi, on a un code secret depuis qu’on se connaît: quand on a envie d’attirer l’attention l’un de l’autre, on s’envoie l’emoji du petit ours.
J’avais presque 22 ans quand j’ai « perdu ma virginité » et que j’ai eu ma première relation sexuelle sur un one night Tinder. Le sentiment d’être en retard sur les autres et de ne pas comprendre tout un langage, toute une mécanique essentielle à la vie était en train de me rendre vraiment malheureuse.
N’habitant pas avec mon amoureux (hypocondriaque) et vivant avec deux colocs, je me suis vu privé de l’intimité de mon couple pendant la pandémie de covid-19.
J’accepte donc de ne pas être l’objet qui soulagera le désir de mon chéri et je lui choisis une vidéo porno coup de cœur avec une scène de rimming légendaire qui me fait venir en moins de deux battements d’ailes de mouche.